| Détails
des préparations effectuées |
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Pour limiter les coûts, le minimum pour
rouler sur piste est le changement des carénages pour un poly (carénage
en polyester) plus facilement réparable en cas de chute et surtout
près de 5 fois moins cher qu'un carénage d'origine. Un coup
de peinture là-dessus et zou...! |
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Pot YOSHIMURA Racing RS3 avec trois protection style tuyaux d'arrosage
mais avec un renfort en ferraille à l'intérieur, le tout
bien tenu par des gros colliers.
Croyez-nous c'est bien utile en cas de chute, on les a même testées
grandeur nature :
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Utilisation de pneus réservés à un
usage piste. Nous avons pour l'instant opté pour pneus Michelin
RACE M2 (Medium) ou S2 (Soft) selon la température. Ces pneus dont
la production a été arrêtée en 2004 sont remplacés
en 2005 par les Michelin POWER RACE. Ces pneus accrochent terriblement
bien lorsqu'ils sont chauds. |
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| Durites de type Aviation permettant un usage
intensif des freins sans perte de raideur dûe à une température
excessive. En effet contrairement à des durites classiques, celles-ci
ne se dilatent pas avec la chaleur. Changement du liquide de frein pour
du DOT 5 également plus résistant : |
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Suppression de la moitié de la boucle arrière
qui ne sert plus à rien. C'est toujours un ou 2 kg de gagné...
et surtout c'est plus facile pour poser la coque arrière monobloc |
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Platines en alu taillées dans la masse faites maison par Eric
pour avoir de véritables commandes reculées à pas
cher :
Cliquez
sur le l'image ci-contre pour admirer le boulot :
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Ajout d'une mousse de selle sur la coque arrière
pour de meilleures sensations et de meilleurs appuis |
Chrono embarqué à mémoires avec
déclenchement par appui sur le bouton d'appel de phare fait maison.
Pratique pour connaître ses temps au tour en temps réel
à moindre coût :
détails du montage ici
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Indicateur de rapport engagé
permettant de connaître à tout moment le rapport de boite
engagé. C'est bien pratique car parfois il arrive sur une portion
de ligne droite de passer des fois en 4ème et des fois en 5ème.
Il arrive donc qu'au moment de rétrograder on ne sache plus combien
de vitesses il faut descendre. Grâce à ça, un petit
coup d'oeil au compteur et on sait tout de suite.
Ce système est fait maison à base d'un microcontroleur
PIC 16F873 et d'un afficheur 7 segments. Sur la plupart des SUZUKI,
il existe un capteur au niveau de la boite de vitesse qui renvoit une
tension pour chaque rapport :
- 1ère = 1.782 V
- 2ème= 2.242 V
- 3ème= 2.960 V
- 4ème= 3.630 V
- 5ème= 4.310 V
- 6ème= 4.660 V
Point Mort = 5.000 V
Il suffit donc de récupérer cette tension et en fonction
de sa valeur d'allumer sur un afficheur 7 segments les LED correspondantes
au rapport.
Ce montage a été réalisé en numérique
(micro-controlleur) mais il est également possible de faire la
même chose en analogique ( mais ca ferait beaucoup plus de composants
et comme on veut faire un truc compact...)
Bref le PIC, je trouve ca mieux (d'ailleurs merci à didier pour
m'avoir suggéré l'idée).
NB : Pour d'autres motos ce serait faisable aussi mais beaucoup plus
compliqué puisqu'il faudrait faire le rapport entre le régime
moteur et la vitesse en km/h pour déterminer la vitesse engagée.
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| Ajout d'un amortisseur
de direction (monté d'origine sur les modèles 2001) et nécessaire
pour notre GSXR pour une utilsation piste car à haut régime,
la moto est légère de l'avant et elle a tendance à
guidonner. Ce phénomène disparait complètement grâce
à l'amortisseur de direction |
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Débridage de
la moto (réservé à une utilisation piste uniquement).
Pour avoir un peu plus de reprise en sortie de virage, un petit débridage
s'impose.
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